1991 à 1993 Portraits et Silhouettes
A cette époque :"J'ai fait un rève, le plus beau de ma vie: mes mains etaient matière, le couleur jaillisait de mes doigts" 1993
Henri CORINO a cette intention à l'autre, cette sensibilité affectueuse qui lui permette de traduire le mmonde sans le décrire, d'eveiller la conscience sans perdre la sensibilité du beau. Il réagit aux évenements avec sa sensibilité. La vie de ce siecle n'est elle pas qu'une illusion?
Ce sont des» images de l'air du temps », des expressions gravées dans la mémoire fugitive, des couleurs toujours en gamme, vibrations exaltantes, analysées avec précision.
Des confidences et des silences fugitifs, des sourires ou des clins d'oeil, des combats ou des violences profondes. Henri Corino revisite une civilisation en effervescence, témoigne des gestes et des moeurs qui l'amusent ou l'étonnent. Les tableaux sont vigoureux, construits avec une rigueur magistrale, mais jamais ils ne sacrifient la pensée à la technique. Les portraits sont très personnalisés, il faut les intégrer à l'émotion.
« A cette époque, j'ai fait un rêve, le plus beau rêve de ma vie: mes mains étaient matière; la couleur jaillissait de mes doigts et étaient leur continuité; le tableau se créait directement sous mes yeux; c'était merveilleux, miraculeux. »
Henri Corino était un être d'exception tel qu'on en rencontre peu dans une vie. Ceux qui ont eu cette chance, témoignent de sa modestie, sa gentillesse, son charisme, sa simplicité, tout le rapprochait de la nature, des fleurs, dujardin, de la beauté de notre terre. En même temps, il était très curieux, cultivé, raffiné, distingué, s'intéressant à tous les domaines du savoir.
le voile c'est "portrait drapé" 1990
"Cavaliere" "Club med" 1992
La dérsion aussi "portrait pour rire" 1992
Dans ces portrtaits et silhouette il rend hommage à Matisse Warhol, Seurat
La solitude d'une rue piétonne
Exposition "Portraits et Silhouettes" : Hostellerie du Lac Bleu, 38850 Charavines , Isère du Xy au X
précedent suivant